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L’essentiel pour une adoption simple, sans complexité particulière.
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Reconnaître juridiquement le rôle que vous tenez déjà au quotidien, à tarif maîtrisé.
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Pour une adoption plénière en toute sécurité, avec un tarif clair dès le départ.
L’adoption de l’enfant de son conjoint permet de sécuriser juridiquement le lien parental dans les familles recomposées ou après une PMA ou une GPA à l’étranger.
Elle prend généralement la forme d’une adoption simple, qui maintient les liens avec la famille d’origine tout en créant une nouvelle filiation.
L’adoption simple crée un lien juridique entre l’adoptant et l’adopté sans rompre les liens avec la famille d’origine.
Souvent utilisée dans les familles recomposées, elle s’applique également pour sécuriser la filiation du second parent dans certains cas particuliers :
Enfants nés d’une PMA réalisée à l’étranger ou avant août 2021
Enfants nés d’une GPA à l’étranger, lorsque la transcription intégrale de l’acte de naissance n’est pas admise
L’enfant conserve ses droits successoraux dans sa famille d’origine, et l’adoption peut être révoquée pour motifs graves.
L’adoption plénière entraîne une rupture totale avec la famille d’origine : l’enfant devient juridiquement l’enfant de l’adoptant.
Elle est irrévocable et concerne principalement :
les enfants pupilles de l’État
les enfants confiés à l’Aide sociale à l’enfance (ASE)
les enfants nés à l’étranger dans le cadre d’une adoption internationale
Dans certaines situations complexes, comme une GPA réalisée à l’étranger, l’adoption plénière peut également être envisagée, en fonction des décisions de justice et des règles de filiation applicables.
Vérification des conditions légales, âge, durée de vie commune, consentement des parents, etc.
Actes d’état civil, attestations, pièces justificatives, requête au tribunal…
Dépôt de la requête, échanges avec le juge, audience éventuelle
Adopter : c’est l’aboutissement d’un projet de vie.
Que vous soyez un couple recomposé, une famille homoparentale, que vous ayez eu recours à une PMA ou une GPA à l’étranger, ou que vous souhaitiez simplement reconnaître juridiquement un lien déjà existant avec un enfant, nous sommes à vos côtés pour un accompagnement sur-mesure.
Notre cabinet intervient exclusivement en droit de la famille.
Nous connaissons les enjeux propres à chaque situation (PMA, GPA, adoption intrafamiliale…) et vous guidons à chaque étape.
Nos honoraires sont fixes, annoncés dès le départ, sans surprise.
Votre temps est précieux, votre histoire aussi — nous en faisons une priorité.
Tarif fixe : 120 € TTC
Prenez rendez-vous par téléphone ou en ligne.
Dès la validation, vous recevrez un questionnaire personnalisé pour préparer au mieux notre entretien.
Durée : 45 minutes – En cabinet ou à distance
Objectif: Mieux vous connaître, identifier vos attentes et répondre à vos questions.
À l’issue du rendez-vous, un devis détaillé vous est proposé.
Validation de la convention d’honoraires
Si vous souhaitez poursuivre, vous signerez une convention d’honoraires électronique et recevrez la liste des documents à réunir.
Qui peut adopter en France ?
Toute personne âgée de plus de 26 ans peut adopter seule ou en couple (mariés, pacsés ou en concubinage), à condition d’avoir au moins 15 ans de plus que l’enfant (ou 10 ans s’il s’agit de l’enfant du conjoint).
L’adoption est-elle possible si l’enfant est majeur ?
Oui. Il est possible d’adopter un majeur, mais uniquement par adoption simple. C’est souvent le cas pour officialiser un lien affectif ancien (ex. : enfant élevé depuis longtemps par l’adoptant).
Peut-on adopter un enfant sans son consentement ?
Le consentement de l’enfant est obligatoire à partir de 13 ans, sauf exception (enfant protégé, hors d’état de manifester sa volonté, etc.). Avant 13 ans, il n’est pas requis, mais l’audition de l’enfant peut être sollicitée par le juge si son intérêt l’exige.
Faut-il l’accord des parents d’origine pour adopter un enfant ?
Oui, sauf si les parents ont été déchus de l’autorité parentale ou si l’enfant a été abandonné juridiquement. En adoption simple, le consentement des parents biologiques est requis sauf cas spécifiques (ex. : décès, retrait de l’autorité parentale).
Peut-on adopter un enfant confié à l’Aide sociale à l’enfance (ASE) ?
Oui, mais uniquement si l’enfant a été déclaré pupille de l’État ou juridiquement abandonné. Il faut alors être titulaire d’un agrément à l’adoption, délivré par le département.
Est-ce que l’adoption permet un changement de nom ?
Oui. En adoption simple, le nom de l’adoptant peut être ajouté ou substitué à celui de l’adopté (selon l’accord des parties et l’âge de l’adopté). En adoption plénière, l’enfant prend automatiquement le nom de l’adoptant.
Vous avez une question sur le fonctionnement du cabinet, besoin d’une précision avant de prendre rendez-vous?
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Le cabinet est à votre disposition et vous répondra dans les meilleurs délais.
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